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     Mon âge se situe aux alentours de soixante quatre ans, à l'heure où j'écris ses mots. Je suis autodidacte. Ma passion pour l'écriture me vient d'une ligne génétique qui commence par ma grand-mère, ma grand tante et qui se termine par ma mère et … par moi. Mes premiers écrits me démangent déjà depuis mon enfance et se mettent vraiment en avant en mille neuf cent quatre vingt un où j'écris un premier roman, une relique gardée dans mon tiroir, comme souvenir.

     Je n'ai eu de cesse de vouloir m'améliorer, seul, puis en écoutant les critiques toutes justifiées et très profitables à mon avancement. 

     Je remercie au passage toutes celles qui m'ont aidés, principalement mes amies qui se reconnaîtront.

     Je disais donc que les critiques faites avec à propos m'ont servies et me servent encore à ce jour.

Que ceux qui désespèrent d'écrire un jour persévèrent, car même s'il est difficile de se faire éditer, ne nous voilons pas la face, nous ne sommes ni politiques, ni artistes de toutes sortes, mais seulement des illustres quidams inconnus, il faut faire avec et surtout avec ces Editeurs qui pensent beaucoup plus à l'argent qu'à l'art en lui même, ce qui est compréhensif à l'époque où on vit et où l'argent est roi, un peu trop à mon goût.

     Bref ! Comme je le disais plus haut, il faut faire avec. Mais surtout pas désespérer ni baisser les bras qui est indigne de gens de lettres. Lorsque l'on a la passion on va jusqu'au bout.

Fermons la parenthèse. 

     J'ai trouvé mon inspiration par l'écoute d'idées, de suggestions, d'histoires et de légendes qui pour moi sont plus que des légendes, car ces dernières ne vivent pas toutes seules. Mon imagination a fait le reste. 

Je dessine aussi. Mes oeuvres, si je puis dire sont affichées sur un de mes sites

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Ecrire

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     Ecrire une phrase m'apporte une joie profonde. Tracer les mots sur la feuille de papier puis ensuite par le biais de l'ordinateur, surtout pour les corrections de toutes sortes est du vrai pain béni, une sorte de satisfaction que chacun doit évoquer à sa manière, car tout le monde ne réagit pas de la même manière. Le travail n'est pas terminé pour autant lorsque l'on a raconté l'histoire, fait vivre les personnages et les idées. Une fois le mot fin écrit sur l'ultime page, qui est pour moi un arrache coeur car il me fait quitter mes personnages et ma vie à bord de ces voyages dans le temps, il faut tout reprendre, relire, corriger et relire encore, comme je le fais à chaque fois. Mais, même ainsi je ne suis jamais entièrement satisfait. Seulement il faut bien tourner la page, un jour. 

     Alors si on a de la chance comme j'en ai moi d'avoir des amis complaisants et capables, on livre le " bébé", comme on dit, à un de ceux-ci qui corrige avant d'envoyer le tout à une multitude d'éditeurs.

La suite, à vous de le découvrir … bonnes écritures et bon courage !

Guy